Au palais de l'enfant sauvage
Jaillirent des larmes de sel
Leur éclat fut tel
Que les gardes qui veillent
Aux marches du palais
Furent terrassés sans retour
Dans un éblouissement de lune et de cristal
Insoutenable et sans objet apparent.
Poèmes pour la main gauche,
© Les Éditions du Boréal, 1997.)
Jaillirent des larmes de sel
Leur éclat fut tel
Que les gardes qui veillent
Aux marches du palais
Furent terrassés sans retour
Dans un éblouissement de lune et de cristal
Insoutenable et sans objet apparent.
Poèmes pour la main gauche,
© Les Éditions du Boréal, 1997.)
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